Les inscriptions pour la nouvelle faculté ont débuté cette semaine
·Les repêchages du baccalauréat terminés, les inscriptions à l’université vont s’étaler jusqu’au 18 juillet à Bayonne
Les couloirs de la faculté de Bayonne sont déserts. Un courant d’air amène les visiteurs vers le bureau d’inscription ; depuis lundi, les nouveaux bacheliers retirent les dossiers d’inscription, et ce, jusqu’au 18 juillet.
En tout, une centaine de futurs étudiants se sont rendus à l’antenne de Bayonne de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour. Les premiers reçus au baccalauréat ont été nombreux le premier jour. Hier, les repêchés se sont faits discrets : en effet, certains ne connaissaient toujours pas leurs résultats à 18 heures.
Le diplôme entre les mains, ceux qui ont fait le choix d’un cursus universitaire se lancent dans les démarches administratives qui vont les occuper jusqu’à la rentrée. Effectivement, l’inscription n’est pas la seule chose à laquelle ils doivent penser.
"Lorsqu’ils arrivent à notre stand, les jeunes savent ce qu’ils veulent", explique une étudiante qui s’occupe de présenter la sécurité sociale étudiante à laquelle elle est rattachée. Les universitaires sont plus autonomes que leurs camarades des BTS. "Aujourd’hui, par exemple, aucun élève n’est venu avec ses parents", explique la jeune fille. Entre la cotisation pour la sécurité sociale et la scolarité, une inscription leur revient à moins de 400 euros. Cette année, les droits d’inscription ont baissé à la faculté de Bayonne.
Cependant, plus que sur les démarches administratives, les questions portent surtout sur les études et la méthodologie. Isabelle Lajus est là pour y répondre. Elle-même étudiante en Droit, elle leur donne des conseils.
Nouveaux locaux
Mais la question qui revient cette année est : y aura-t-il suffisamment de places de stationnement à la nouvelle faculté ? Dans quelques jours, les bancs de l’université vont quitter le conservatoire pour se poser dans les nouveaux bâtiments du Petit Bayonne. "Le nouvel environnement sera plus adapté pour les études", estime Isabelle Lajus.
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