Le Dermier curé se repent de sa précoce vocation
Les éditions Elkar viennent de publier Azken Apeza, ("Le dernier curé") itinéraire de vie du curé basque Paskal Ipuru, en proie à une vocation précoce autant qu’à des doutes tardifs.Un récit proposé en euskara par Piarres Aintziart, ancien professeur de philosophie, déjà auteur de deux ouvrages, publiés aux éditions Maiatz, Euskal herrian Bizikletari et Biziaren bazterrean.Dans la peau du curé Pascal Ipuru, qui ne se résignera jamais à changer de voix, ce sont les regrets qui pointent, comme un écho à un débat sur la modernisation de l’église qui n’a décidément pas lieu au Vatican. Mais à l’heure où l’abbé Pierre confesse ses désirs et ses faiblesses face à la chair, cette publication vient à point nommé pour en exprimer les frustrations.
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